Sport supprimé 2024 : ce que ça change pour le karaté et les arts martiaux

Le sport supprimé 2024, le karaté, a été retiré du programme des Jeux Olympiques d’été 2024 à Paris. Cette décision a bouleversé la communauté des arts martiaux, surtout en France, où des milliers de pratiquants s’entraînent chaque jour avec l’espoir de briller sur la plus grande scène sportive. Ce n’est pas une question de performance, mais de reconnaissance. Le karaté était entré aux JO en 2020 à Tokyo, et déjà, beaucoup se demandaient si c’était une invitation temporaire ou un nouveau départ. La réponse est là : ce n’était qu’une étape.

Le karaté olympique, une version adaptée des compétitions internationales, avec des règles strictes et un système de points très technique. Ce n’est pas le karaté que vous pratiquez dans votre dojo, avec ses katas profonds, ses coups de poing précis et son respect ancestral. Ce qui a été supprimé, c’est le format de compétition de la WKF, pas le karaté lui-même. Les vrais combattants, ceux qui apprennent à se défendre, à gérer leur peur, à rester calme sous pression — eux, ils continuent. Le karaté n’a pas disparu. Il a juste perdu son cadre médiatique.

Le arts martiaux, un ensemble de disciplines qui ne vivent pas pour les médias, mais pour les dojos, les tatamis, les ceintures usées et les silences entre deux séances. Ce sont ces arts-là qui transforment les vies. Ceux qui ont appris à se lever après une chute, à respirer avant de frapper, à respecter l’adversaire — ils n’ont pas besoin des JO pour valider leur parcours. Les Jeux Olympiques ne sont qu’un événement. Le karaté, lui, est une pratique quotidienne. Il ne dépend pas d’un comité international pour exister.

Vous allez trouver ici des articles qui parlent de ce que le karaté signifie vraiment : comment choisir le bon style, pourquoi la discipline compte plus que la victoire, comment les techniques de base font toute la différence. Des interviews de champions, des guides pour débuter, des analyses sur les différences entre le karaté de rue et le karaté de compétition. Ce n’est pas une page de deuil. C’est une page de réorientation. Le karaté ne s’arrête pas quand les caméras s’éteignent. Il commence vraiment quand personne ne regarde.