Karaté retiré 2024 : ce qu'il faut savoir sur la décision et ses impacts

Le karaté retiré 2024, la discipline martiale qui a fait son entrée aux Jeux Olympiques en 2020 avant d’en être exclue pour 2024. Also known as karaté olympique, it a été accueilli avec enthousiasme par des milliers de pratiquants, puis supprimé du programme sans que les raisons soient vraiment claires pour la base. Ce n’est pas une fin, mais un tournant. Le karaté n’a pas disparu — il a changé de terrain. Les compétitions internationales continuent sous l’égide de la WKF, la Fédération mondiale de karaté, qui organise les championnats du monde et les circuits de qualification. Ce n’est pas parce que les Jeux ont dit non que les dojos ont fermé. Bien au contraire.

Le retrait du karaté en 2024 n’a pas touché les fondements de la pratique. Les karaté de contact, une forme de karaté axée sur la réalisation technique et la puissance des frappes dans un cadre compétitif réel. restent vivants, les tournois locaux et nationaux se multiplient, et les entraîneurs continuent de former des combattants avec la même rigueur. Ce qui a changé, c’est le regard du public. Plus de télévision, plus de sponsors majeurs, plus de médias. Mais pour ceux qui pratiquent, le karaté n’a jamais été une question de visibilité — c’est une question de discipline, de respect, de progression. Les articles ici explorent exactement ce que ça signifie : pourquoi certains styles comme le Kyokushin ou le Shotokan continuent de dominer les dojos, comment les combattants s’adaptent sans les Jeux, et ce que le karaté réel (celui de la rue, du dojo, de la transpiration quotidienne) a de plus fort que le karaté de spectacle.

Vous trouverez ici des analyses concrètes sur les styles les plus efficaces, les raisons pour lesquelles le karaté a été écarté des Jeux, et comment les champions continuent de s’entraîner sans médailles olympiques. Des interviews avec des entraîneurs, des témoignages de pratiquants, et des guides pour rester motivé même quand le monde semble tourner le dos. Ce n’est pas une nécrologie. C’est un nouveau départ.